Cleanmo considère l’honnêteté comme le fondement et traite les clients avec sincérité lors de la fourniture de services.
Aujourd'hui, Teng et le Dr Kami Kim, chef du département des maladies infectieuses de l'USF, poursuivent leurs recherches pour démontrer que cet écouvillon nasal fonctionne de la même manière que l'écouvillon traditionnel utilisé dans le kit de dépistage du coronavirus. Les chercheurs ont contacté Formlabs, fabricant d'imprimantes 3D, pour obtenir davantage de résine chirurgicale nécessaire à la fabrication des écouvillons. Tous les tests effectués par ces instituts ont confirmé que les écouvillons nasaux imprimés en 3D fonctionnent aussi bien que les écouvillons simples utilisés pour le dépistage de la COVID-19. Cet article aurait dû contribuer à convaincre le lecteur que les simples pansements de gaze ne sont pas si simples de toute façon et peut-être à démontrer qu'aucun dispositif médical ne doit être considéré comme un simple produit de base. Toutes ces normes et ces contrôles ont été mis en place pour une seule et même raison : protéger le patient des risques liés aux appareils.
Les fabricants doivent adopter un protocole strict lors de la fabrication des écouvillons « tie-5 » afin de garantir que chaque paquet contienne cinq écouvillons et jamais quatre ou six. Un nombre incorrect d'écouvillons dans un paquet perturberait le système de comptage et risquerait d'oublier un écouvillon chez un patient, ou de laisser un patient « ouvert », ce qui accroîtrait les risques lors de la recherche d'un écouvillon introuvable. Malheureusement, un écouvillon de gaze oublié chez un patient après une opération peut entraîner son décès, et l'a déjà fait. Cette idée est inquiétante pour ceux qui considèrent les écouvillons détectables aux rayons X et les « tie-5 » comme des produits de consommation courante. Ils sont « tie-5 » car c'est le nombre conventionnel du système de comptage utilisé dans les blocs opératoires.
La pratique courante consiste à comptabiliser les écouvillons lors de leur distribution et de leur retrait auprès du patient (compter et recompter), garantissant ainsi leur utilisation. L'utilisation d'un fil de ligature de couleur vive pour chaque paquet de 5 écouvillons permet de suivre et de comptabiliser les écouvillons. Par exemple, si 5 unités de 5 écouvillons sont distribuées, il faudra comptabiliser à la fin de la procédure 20 écouvillons de 5 et 5 morceaux de fil de ligature. Au bloc opératoire, il est essentiel que chaque dispositif utilisé puisse être identifié et comptabilisé.
Bien que l'élément radiographique doive être fabriqué avec des matériaux adéquats pour le rendre opaque aux rayons X, il doit conserver sa flexibilité. Un matériau dur peut entraîner des blessures et, s'il est cassant, se briser à l'intérieur du patient, ce qui peut entraîner des blessures. Ce produit à usage unique ne dispense pas d'une stérilisation rigoureuse. Il est fabriqué en mousse de polyuréthane à cellules ouvertes de qualité médicale 100 PPI et doté d'un manche en polypropylène blanc.
Sa formule contient 2 % de gluconate de chlorhexidine et 70 % d'alcool isopropylique, ce qui répond aux exigences cliniques strictes de la FDA. La chlorhexidine est un antiseptique chimique et possède également des propriétés bactériostatiques, ce qui signifie qu'elle peut tuer les bactéries Gram positives et Gram négatives, bien plus efficacement que les tampons iodophores et alcoolisés classiques.
Ceci est particulièrement essentiel dans le cas d'écouvillons radiodétectables, dont certains doivent être laissés en place pendant toute l'intervention chirurgicale (par exemple, les écouvillons gastriques). Ces examens permettent de détecter les écouvillons contenant un élément radiodétectable présent dans le corps du patient à l'aide d'instruments radiologiques. L'objectif est d'éviter au patient une nouvelle intervention exploratoire inutile dans le cas peu probable où un écouvillon serait perdu après la fermeture.
CONTACT US