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Comme les écouvillons restent immergés dans le milieu urinaire, les CDC et la FDA recommandent l'utilisation d'écouvillons à embout synthétique, de préférence en plastique ou en aluminium. Un protocole de test salivaire COVID-19, développé par des chercheurs de l'Université Yale, s'est révélé au moins aussi efficace que les écouvillons nasaux lors d'une étude menée auprès de patients hospitalisés, une découverte qui pourrait encourager une utilisation plus fréquente des prélèvements auto-collectés. L'étude a également conclu que la variabilité des résultats était moindre avec l'auto-collecte de salive.
Aux États-Unis, les directives antérieures concernant les tests de dépistage de la COVID-19 par écouvillonnage exigeaient que les professionnels de santé prélèvent des échantillons dans le nasopharynx, situé derrière les fosses nasales, ou à l'arrière de la gorge. Les échantillons nasopharyngés étaient, et restent, le type d'échantillon privilégié par la FDA pour les tests de dépistage du nouveau coronavirus SARS-CoV-2, responsable de l'épidémie de COVID-19. La plupart des tests moléculaires de dépistage de la COVID-19 actuellement disponibles sur le marché nécessitent une méthode de prélèvement d'échantillons, nécessitant l'insertion d'écouvillons dans les voies nasales et la gorge. Les écouvillons contenant l'échantillon sont ensuite transportés dans 2 à 3 ml de milieu de transport universel viral et doivent être conservés au frais avec des blocs réfrigérants ou de la glace sèche, puis traités en quelques heures.
Une étude antérieure comparant la sensibilité des prélèvements par écouvillonnage sec et humide a montré que ces méthodes produisaient les mêmes résultats pour la détection du SARM intranasal. Cependant, il est possible que l'efficacité des tests de dépistage par écouvillonnage varie selon la méthode de prélèvement, la situation et les conditions de chaque unité de soins intensifs. Nous avons donc mené une étude prospective afin de réévaluer la validité du prélèvement humide comme test de dépistage intranasal du SARM dans notre contexte médical.
La déclaration des résultats positifs aux autorités sanitaires de l'État est également obligatoire. L'infection nosocomiale à Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline est une préoccupation majeure dans les unités de soins intensifs où sont accueillis des patients gravement malades. L'analyse bactérienne par prélèvement nasal étant peu coûteuse, simple et accessible, elle constitue une méthode courante de dépistage du SARM.
Les tests salivaires à domicile et à pied nécessitent moins d'équipements de protection individuelle, évitent l'inconfort des prélèvements nasaux et sont moins sujets aux pénuries. L'annonce précise que les résultats seront envoyés par courriel sous trois jours.
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