Cleanmo considère l’honnêteté comme le fondement et traite les clients avec sincérité lors de la fourniture de services.
Le chirurgien doit en discuter avec son responsable clinique et informer le patient au plus vite. Si le produit manquant se trouve dans le corps du patient, mais qu'il est jugé inapte à subir un examen complémentaire, une réouverture ou une nouvelle intervention chirurgicale pour retirer le produit, le chirurgien doit décider de ne pas procéder à l'opération dans l'intérêt du patient. Cette information doit être transmise aux équipes de gestion des unités de soins intensifs concernées et à l'équipe de gestion des risques dans les plus brefs délais. Si le produit manquant se trouve dans le corps du patient et qu'il est possible de le retirer sans danger, il doit être éliminé.
Chaque taille d'écouvillon chirurgical doit être comptée individuellement, répartie en piles de 5 ou 10, puis consignée comme total cumulé sur la fiche des articles comptables et au tableau blanc. Chaque taille d'écouvillon doit être comptée tour à tour, consignée sur la fiche des articles comptables et inscrite au tableau blanc. À ce stade, il convient de vérifier l'intégrité du RAYTEC et, le cas échéant, la bonne fixation du ruban adhésif.
La pratique consistant à constituer plusieurs chariots pour une même liste de patients est inacceptable. Ne déroger à cette procédure que si cette dérogation est limitée aux besoins spécifiques de chaque cas.
En cas de relève temporaire d'un chirurgien, s'il fait partie de la même équipe, une vérification verbale des écouvillons et des objets tranchants est indispensable. Lors de la vérification postopératoire, le chirurgien doit informer le chirurgien afin qu'il ne l'interrompe pas. À ce stade de l'intervention, une pause chirurgicale est nécessaire pour permettre au clinicien en poste d'examiner la plaie. Une annonce doit être faite pour indiquer que la première vérification postopératoire aura lieu.
Les écouvillons non utilisés (par lots de cinq) peuvent être jetés sans utiliser de contenant. Lors du comptage final, les contenants ouverts doivent être remplis avec les écouvillons restants. D'autres contenants de même taille peuvent être empilés par-dessus jusqu'à la fin des contrôles. Le médecin traitant ouvre complètement l'écouvillon chirurgical pour montrer au médecin de garde qu'il ne contient qu'un seul écouvillon chirurgical et la balance.
Si les écouvillons volontairement conservés ne sont pas retirés en salle de réveil, une transmission écrite et verbale au personnel du service doit être effectuée. Le chirurgien/médecin opératoire doit informer le patient de l'événement et de son issue. La décision prise, la description du produit et son emplacement doivent être consignées par le chirurgien dans le compte rendu opératoire. Elles doivent également figurer dans le registre des éléments responsables et le plan de soins périopératoires. Un rapport DATIX doit être rempli, accompagné d'un document attestant de la décision de ne pas poursuivre.
Le personnel périopératoire est habilité à signaler toute préoccupation s'il estime qu'il existe un problème de sécurité pour le patient. Le personnel doit disposer d'un délai supplémentaire pour effectuer les contrôles des objets sensibles si aucun personnel supplémentaire n'est disponible, mais que l'intervention ne peut être reportée. Dans la mesure du possible, et pour éviter toute interférence avec le champ opératoire visuel, une partie du pack de gorge doit être laissée en saillie hors de la bouche du patient. Une pause chirurgicale doit être observée avant le premier contrôle postopératoire des objets sensibles.
Une autre vérification complète des dispositifs de sécurité doit être effectuée afin de s'assurer que l'article « localisé » est bien l'article manquant. Le chirurgien/opérateur doit consigner cette information dans le dossier du patient, dans le plan de soins et, le cas échéant, dans le TMS. Cette vérification doit inclure une pause chirurgicale et l'examen de la plaie en cours de fermeture par le chirurgien.
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