Cleanmo considère l’honnêteté comme le fondement et traite les clients avec sincérité lors de la fourniture de services.
Granulome centré sur une compresse de gaze retenue par inadvertance lors d'une ovariohystérectomie. La rétention de corps étrangers chirurgicaux peut être évitée, et leur fréquence est probablement sous-estimée. Les facteurs de risque identifiés en médecine humaine comprennent la chirurgie d'urgence, les modifications de la procédure chirurgicale et l'obésité. Un corps étranger doit être considéré comme une cause potentielle de voies de drainage chez les patients vétérinaires. Objectifs : Évaluer les facteurs pouvant être associés à la rétention de compresses chirurgicales chez les patients vétérinaires.
Les détails de l'évaluation préopératoire, les caractéristiques démographiques et les constatations opératoires ont été consignés. L'utilisation et les constatations de la radiographie abdominale, de l'échographie, de la tomodensitométrie, de l'imagerie par résonance magnétique et de l'endoscopie digestive haute ont également été notées. Treize des 14 patients étaient symptomatiques, et les constatations les plus fréquentes étaient des douleurs abdominales non spécifiques et une occlusion intestinale.
Français Au total, 27 % des répondants avaient connaissance d'au moins un cas d'éponge chirurgicale retenue. L'estomac était la localisation anatomique la plus fréquente pour les éponges chirurgicales retenues et ont adopté une stérilisation élective. Importance clinique Malgré le faible taux de réponse, nos résultats suggèrent que les méthodes de surveillance peuvent réduire l'incidence des éponges chirurgicales retenues. Le manque de temps spécifiquement prévu pour l'intervention chirurgicale, le peu de personnel du bloc opératoire et le manque de comptage et de documentation des éponges peuvent avoir contribué aux 17 cas d'éponges chirurgicales retenues signalés.
Des problèmes postopératoires, notamment une infection du site opératoire et une éviscération, sont survenus dans cinq cas. Le RSS peut entraîner des problèmes médicaux et juridiques importants entre le patient et le médecin. Un diagnostic erroné du RSS peut être préopératoire, ce qui peut entraîner des procédures diagnostiques et des interventions invasives inutiles.
Une femelle croisée berger allemand stérilisée âgée de 6 ans présentait depuis 6 mois une fistule drainante au flanc gauche. L'intervention chirurgicale a révélé un granulome enveloppant l'uretère gauche et l'artère mésentérique caudale, et adhérant à plusieurs anses intestinales.
Afin de présenter le signalement, l'historique, les signes cliniques, les résultats diagnostiques et chirurgicaux ainsi que les résultats chez les chiens et les chats présentant des prélèvements conservés, les dossiers médicaux des chiens et des chats adressés à quatre centres de référence ont été examinés. Les cas où un prélèvement chirurgical a été retrouvé lors d'une intervention chirurgicale à l'hôpital de référence ont été sélectionnés pour une étude plus approfondie. Le signalement, l'historique, les signes cliniques, les résultats diagnostiques et chirurgicaux ainsi que les résultats ont été examinés.
Quatre patients ont nécessité une intervention chirurgicale urgente, les éponges étant à l'origine d'une occlusion intestinale ou d'un sepsis intra-abdominal. D'après les antécédents médicaux, l'examen physique et l'imagerie diagnostique, un syndrome de Rett a été diagnostiqué en préopératoire chez cinq patients.
Matériel et méthodes Une enquête a été distribuée à 322 vétérinaires participant à une conférence vétérinaire nationale au Royaume-Uni. L'enquête comprenait des questions concernant le personnel, la planification, le type d'intervention chirurgicale, les éponges chirurgicales, les stratégies de suivi des éponges chirurgicales et les détails des cas cliniques avec des éponges chirurgicales conservées. L'absence d'horaire prévu pour les interventions chirurgicales a été signalée par 30 % des répondants et était variable pour 31 %. Plus de la moitié des répondants (66 %) avaient deux personnes impliquées dans chaque intervention chirurgicale. La majorité des répondants stérilisaient leurs propres éponges chirurgicales (91 %) et utilisaient des éponges chirurgicales non radio-opaques (56 %).
CONTACT US